Jeudi 31 octobre 4 31 /10 /Oct 12:26

 

 

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Par un splendide après-midi printanier, les rayons d'un soleil bien fier taquinaient rudement la peau de l'officier Jean-Jean, tout occupé qu'il était dans sa recherche d'une herbe très rare. Symphorien Jean-Jean, lieutenant à la 4e brigade des forces terrestres de l'unité spéciale du village de Bruault-en-Laie, s'apprêtant à la confection d'une boisson pour ragaillardir les soldats sous ses ordres, cherchait l'ultime ingrédient à même le sol d'un petit boisé avoisinant la base militaire.


Il avait chaud, si chaud sous sa chemise empesée, son col bien fermé, son béret bien vissé sur le crâne, il étouffait ! Il prit donc le parti d'ôter le béret, ce qui laissa à nu son crâne luisant de sueur, sphère parfaite et exempte de veines saillantes, ce qui permettait d'admirer franchement la couleur café au lait de son teint. Comme le pauvre Symphorien souffrait toutefois encore terriblement de cette chaleur, il fit sauter les boutons de la chemise et l'enleva simplement. Ne restait plus que la camisole blanche, collée à la peau sombre de l'homme par la sueur, laissant deviner des muscles d'une beauté émouvante. Les bras étaient si bien dessinés, triceps et biceps donnaient à voir des courbes et des sillons parfaits, son dos semblait sculpté des mains même d'un maître florentin de la Renaissance.

Le cadet Rivière, non loin de là, observait la scène depuis un bon moment déjà. Bien que le jeune Rivière n'eut rien à voir d'emblée avec l'officier Jean-Jean, cet espion amateur rêvait assurément de joindre un jour les rangs d'une formation aussi prestigieuse que celle de Jean-Jean. Aussi, tergiversait-il à savoir s'il allait se présenter à l'homme noir ou s'il allait continuer à l'épier ainsi pour ensuite le suivre jusqu'à son campement. Une circonstance nouvelle le fit toutefois opter pour la seconde alternative.

Jean-Jean, vraisemblablement accablé par le temps toujours plus chaud, laissa tomber la camisole. Le petit Rivière, qui devait avoir environ 20 ans à l'époque, fut très impressionné par les abdominaux de l'officier, qui se tourna pour repérer sa position.

- Oh Putain, se dit Rivière, mais c'est dingue comme il est baraqué ce mec !

En effet, Symphorien attisait désir et convoitise régulièrement. Mais pour l'heure, il se croyait seul, enfin seul, et il profita pleinement de cette solitude en retirant son pantalon, ses bottes et ses chaussettes. De l'autre côté du ruisselet, toujours dissimulé derrière un bouquet de pins, Rivière commençait lui aussi à ressentir une chaleur torride. Jean-Jean avait bien capté le petit ruisseau derrière et il pensa qu'il serait parfaitement correcte d'aller s'y tremper doucement. Évidemment, le jeune cadet ne demandait pas mieux.

Symphorien, qui ne portait plus qu'un boxer bien ample, avança son corps de demi-dieu jusqu'à l'eau et y entra lentement. Il pataugea un instant, se pencha pour s'asperger un peu partout, se disant qu'avec cette chaleur, le boxer sécherait rapidement même s'il était un peu mouillé. Allons deviner ce qui traversa l'esprit du cadet à ce moment mais il se glissa vers les vêtements de l'officier, les saisit et s'enfuit avec son butin derrière un autre massif d'arbres, un peu plus loin.

Jean-Jean, toujours occupé à se faire plaisir dans l'eau, ne remarqua rien. C'est alors que le cadet Rivière vit la ceinture et le flingue. Un Beretta 92. Normal. Cela dit, c'était la première fois que Rivière en tenait un dans sa main. Et il fut parcouru d'un frisson délicieux. Et pendant que le cadet caressait cet engin avec une douceur infinie, voilà que Symphorien balança le boxer et s'écroula dans l'eau en batifolant comme un gosse. Ce qui n'échappa certes pas à Rivière. Fort de son arme, il avança à son tour vers le ruisselet, un méchant sourire au coin de la bouche, arrogant et beau, radieux d'un désir nouveau, d'un désir énorme, et s'assit sur une grosse pierre sur la rive du plan d'eau.

Jean-Jean euphorique stoppa net en apercevant l'étranger. Il lui demanda :

- Tu fais quoi, bonhomme ?
- Je te mate mec…
- Tu délires ou quoi le petit ? Tu mates un officier de l'armée, tu sais ça ?
- Oui m'sieur…
- Ben tires-toi, j'ai rien demandé alors tires-toi !
- Mais m'sieur, j'ai très envie de te mater.
- Eh ! Oh ! Tu déconnes grave là mon bonhomme, tu vas te prendre une dérouillée si tu dégages pas dans la seconde…

Et là-dessus, le petit cadet se lève, et tout en tripotant l'arme dans ses mains, en le regardant sous toutes ses coutures, il lança à Symphorien interloqué :

- Dis m'sieur l'officier, tu me donnes quoi pour que je te le rende ?
- Mais c'est pas vrai, t'es pas un peu fou mon p'tit gars, tu sais ce qui risque de t'arriver ?

Mais l'autre, pas déstabilisé pour un sou, lui rétorqua illico :

- À moi je ne sais pas trop bien mais à toi m'sieur, j'y pense sérieusement…
- Attends, je rêve là, tu me menaces ?? C'est bien vrai, tu me menaces ?? Un gringalet comme toi contre un colosse comme moi !

Et Symphorien ne put s'empêcher de rigoler comme un fou, de se tordre littéralement devant la mine agacée du cadet Rivière.

- Ok m'sieur l'officier, je vais tirer une fois. Juste pour te faire comprendre que c'est un jeu mais que c'est moi qui le commande…

Et Pan ! Une balle qui plonge dans le ruisselet, qui effleure le pied de Symphorien, si bien qu'un filet de sang se mêle à l'eau claire. Jean-Jean n'en croit pas ses yeux. Lui, le bel apollon, sûr de lui, un physique d'athlète de haut calibre, 1 mètre 90, 95 kilos, la forme maintenue par un entraînement quotidien des plus exigeants… Lui Symphorien Jean-Jean, officier gradé d'une force militaire au sol reconnue pour sa bravoure, menacé à la pointe d'un canon par un garçon à peine adulte, qui doit faire au maximum 60 kilos pour 1 mètre 70… Et Jean-Jean n'en finit plus de secouer la tête dans la négative, refusant de croire à la réalité de cette aberration.

- Si t'es bien gentil, m'sieur l'officier, tout sera ok. Nous allons jouer un peu et tu vas faire comme je dis, alors y'aura pas de casse.
- Écoute-moi bien mon petit pote. T'as intérêt à te tirer bien rapidement quand t'auras terminé tes conneries. Parce que si t'as pas les couilles de m'abattre sur-le-champ, sache que ça va faire mal quand je vais t'attraper. Me rate surtout pas en tirant…

Symphorien avait mis tant de haine et de fatalisme dans cette dernière phrase que le cadet sembla hésiter une seconde. Mais il se reprit alors que l'officier s'avançait et celui-ci s'arrêta.

- T'es trop beau, m'sieur l'officier, comprends-moi. Je suis qu'un minable cadet, mon physique sera jamais différent de ce qu'il est maintenant et de plus, j'aime les garçons. Je parviendrai jamais à faire l'armée alors aussi bien crever. Mais avant, je vais me payer une gâterie classe. Maintenant, étends-toi sur le sol, là.

Ce que fit Jean-Jean.

- Caresse-toi. T'es si beau ! Caresse doucement ta peau si lisse, mais ne touche pas ton sexe. J'ai envie de te voir plein de désir. J'ai envie de sentir sur ta chair les palpitations d'une envie extrême, j'aimerais tant te voir bander doucement, voir ton sexe gonfler peu à peu, pouvoir observer ce que c'est qu'un homme, un vrai mec, avec une bite comme la tienne. En voyant tes couilles pleines se balancer lascivement entre tes cuisses, en apercevant ton gland bien rond, et ta queue si longue, si grosse, j'ai eu une envie de toi immédiate.

Tandis que le cadet Rivière déclamait son baratin à l'officier Jean-Jean, éperdu de mots paillards et de fantasmes libidineux, l'homme de guerre opéra une manœuvre si rapide, si efficace que le petit cadet se trouva en deux secondes, face contre terre, un bras tordu dans le dos, un coude lui barrant la nuque, gueulant à l'injustice. Symphorien se marrait bien. Il aurait fallu que le cadet Rivière soit autrement plus puissant pour l'intimider.

Maintenant que le cadet gisait à terre, à la merci de Jean-Jean, celui-ci approcha sa bouche aux lèvres pulpeuses contre l'oreille du garçon et lui murmura :

- Je t'avais prévenu que cela te ferait mal. Et tu vas goûter de ma matraque petit connard. Ça t'apprendra à vouloir faire joujou avec le canon des autres.

Rivière ne souffla mot. Il convenait qu'il avait foiré totalement son plan. Comment arguer, comment demander pardon, comment s'excuser… Il fallait subir, simplement. Jean-Jean était assis sur ses reins, il pouvait sentir une bonne partie de ses 95 kilos. D'un geste brusque, Jean-Jean déchira les fringues du garçon comme s'ils avaient été de papier. Avec une facilité déconcertante, il lui arracha la chemise, le t-shirt, le pantalon, les bottes, les socquettes mais ne toucha pas au caleçon. Rivière n'espérait toutefois rien de cet oubli. La main géante de Jean-Jean lui plaquait toujours les épaules au sol tandis que ses chevilles et ses pieds formaient des sortes de crochets solides autour des jambes du cadet. Rivière savait qu'il était complètement fichu.

C'est à ce moment que le pauvre cadet sentit le corps de son tortionnaire onduler sur le sien et que l'érection de Symphorien se fit peu à peu distincte. Rivière perdit souffle même lorsqu'il réalisa que la chose devait bien faire au moins 25 centimètres. Jean-Jean appuyait toujours un peu plus fort sa grosse queue sur toute la surface dorsale de Rivière. Quand il finit par arracher le slip de sa victime, ce dernier étouffa un sanglot. D'une main ferme et sans tendresse, il lui écarta les fesses et trouva de suite son anus. Là, il y enfonça un doigt avec une puissance qui ne laissait place à aucune résistance. Rivière était violé.

Symphorien eut soudain un élan de pitié. Il cracha copieusement dans sa main, ramassant le plus de salive possible dans sa large paume et enduisit le cul du cadet de cette bave un peu épaisse. Puis il enfonça deux doigts dans le rectum cette fois, histoire de bien lubrifier cette grotte encore vierge qui allait subir le supplice de son zob titanesque. Il promena longuement son gland énorme dans le sillon du fion de l'autre. Passant et repassant pour s'exciter lui-même et aussi, par charité, pour habituer le garçon à ce qui l'attendait. Ensuite, il fit mine de pousser à quelques reprises, ce qui eut pour effet de terroriser le cadet chaque fois qu'il croyait que c'était la bonne. Enfin, il posa son gland sur l'ouverture du fion et chuchota à l'oreille de Rivière :

- Maintenant, respire un grand coup mon bonhomme, tu vas la sentir passer…

Rivière avait envie de crier, de s'effondrer, de disparaître, de gueuler pour qu'on vienne le sauver. Au lieu de cela, il respira un bon coup tandis que Jean-Jean lui déchira le cul pour y enfouir ses 25 centimètres de saucisson. Ce que Rivière ressentit ce jour là fut à jamais gravé dans sa mémoire. Il eut carrément l'impression qu'on l'ouvrait par le fondement. La brûlure était insupportable, la souffrance était monstrueusement aiguë, et Jean-Jean le défonçait avec une brutalité atroce. À force de douleur, il arriva cependant dans un état de grâce.

L'officier lui tambourinait toujours le cul mais avec plus de souplesse, avec un mouvement plein de finesse, et il sembla à Rivière que la bite de Jean-Jean toucha à un point qui le fit littéralement sauter de bonheur. Le cadet jouissait, il jouissait, il éjaculait comme un dingue, malgré le marteau-piqueur qui lui forait les entrailles. Symphorien jeta un grand cri au même instant et le cadet sentit des jets torrides lui remplir le fion.

Sans vraiment comprendre, le cadet sourit. Jean-Jean, plutôt gentil par nature, attrapa sa jeune proie et glissa sa langue veloutée sur la tige du garçon. Rivière naviguait entre douleur et plaisir, la bouche immense du Black semblait le gober tout entier et l'officier le pompait avec un savoir-faire exquis. La langue qui s'agitait sur le gland, les lèvres qui caressaient la hampe, cette bouche, c'était un véritable aspirateur ! Lorsque le cadet sentit une fois de plus la sève se précipiter vers le bout de son gland, cela lui arracha un cri d'une puissance inouïe et L'officier Jean-Jean se retrouva la gorge remplie de foutre chaud. Il avala cette semence délicieuse sans sourciller et mordilla les couilles du cadet pour le taquiner un peu.

Alors on entendit des applaudissements, une troupe entière sortit de plusieurs coins du boisé, on vint relever l'officier et tous les gars félicitèrent le cadet, en larmes. Ce jour là, on venait de vivre une autre magnifique initiation dans la compagnie de l'officier Jean-Jean…

                                                                                                        

Par homclub - Publié dans : histoire homclub - Communauté : homclub
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