histoire homclub

Jeudi 31 octobre 4 31 /10 /Oct 12:26

 

 

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Par un splendide après-midi printanier, les rayons d'un soleil bien fier taquinaient rudement la peau de l'officier Jean-Jean, tout occupé qu'il était dans sa recherche d'une herbe très rare. Symphorien Jean-Jean, lieutenant à la 4e brigade des forces terrestres de l'unité spéciale du village de Bruault-en-Laie, s'apprêtant à la confection d'une boisson pour ragaillardir les soldats sous ses ordres, cherchait l'ultime ingrédient à même le sol d'un petit boisé avoisinant la base militaire.


Il avait chaud, si chaud sous sa chemise empesée, son col bien fermé, son béret bien vissé sur le crâne, il étouffait ! Il prit donc le parti d'ôter le béret, ce qui laissa à nu son crâne luisant de sueur, sphère parfaite et exempte de veines saillantes, ce qui permettait d'admirer franchement la couleur café au lait de son teint. Comme le pauvre Symphorien souffrait toutefois encore terriblement de cette chaleur, il fit sauter les boutons de la chemise et l'enleva simplement. Ne restait plus que la camisole blanche, collée à la peau sombre de l'homme par la sueur, laissant deviner des muscles d'une beauté émouvante. Les bras étaient si bien dessinés, triceps et biceps donnaient à voir des courbes et des sillons parfaits, son dos semblait sculpté des mains même d'un maître florentin de la Renaissance.

Le cadet Rivière, non loin de là, observait la scène depuis un bon moment déjà. Bien que le jeune Rivière n'eut rien à voir d'emblée avec l'officier Jean-Jean, cet espion amateur rêvait assurément de joindre un jour les rangs d'une formation aussi prestigieuse que celle de Jean-Jean. Aussi, tergiversait-il à savoir s'il allait se présenter à l'homme noir ou s'il allait continuer à l'épier ainsi pour ensuite le suivre jusqu'à son campement. Une circonstance nouvelle le fit toutefois opter pour la seconde alternative.

Jean-Jean, vraisemblablement accablé par le temps toujours plus chaud, laissa tomber la camisole. Le petit Rivière, qui devait avoir environ 20 ans à l'époque, fut très impressionné par les abdominaux de l'officier, qui se tourna pour repérer sa position.

- Oh Putain, se dit Rivière, mais c'est dingue comme il est baraqué ce mec !

En effet, Symphorien attisait désir et convoitise régulièrement. Mais pour l'heure, il se croyait seul, enfin seul, et il profita pleinement de cette solitude en retirant son pantalon, ses bottes et ses chaussettes. De l'autre côté du ruisselet, toujours dissimulé derrière un bouquet de pins, Rivière commençait lui aussi à ressentir une chaleur torride. Jean-Jean avait bien capté le petit ruisseau derrière et il pensa qu'il serait parfaitement correcte d'aller s'y tremper doucement. Évidemment, le jeune cadet ne demandait pas mieux.

Symphorien, qui ne portait plus qu'un boxer bien ample, avança son corps de demi-dieu jusqu'à l'eau et y entra lentement. Il pataugea un instant, se pencha pour s'asperger un peu partout, se disant qu'avec cette chaleur, le boxer sécherait rapidement même s'il était un peu mouillé. Allons deviner ce qui traversa l'esprit du cadet à ce moment mais il se glissa vers les vêtements de l'officier, les saisit et s'enfuit avec son butin derrière un autre massif d'arbres, un peu plus loin.

Jean-Jean, toujours occupé à se faire plaisir dans l'eau, ne remarqua rien. C'est alors que le cadet Rivière vit la ceinture et le flingue. Un Beretta 92. Normal. Cela dit, c'était la première fois que Rivière en tenait un dans sa main. Et il fut parcouru d'un frisson délicieux. Et pendant que le cadet caressait cet engin avec une douceur infinie, voilà que Symphorien balança le boxer et s'écroula dans l'eau en batifolant comme un gosse. Ce qui n'échappa certes pas à Rivière. Fort de son arme, il avança à son tour vers le ruisselet, un méchant sourire au coin de la bouche, arrogant et beau, radieux d'un désir nouveau, d'un désir énorme, et s'assit sur une grosse pierre sur la rive du plan d'eau.

Jean-Jean euphorique stoppa net en apercevant l'étranger. Il lui demanda :

- Tu fais quoi, bonhomme ?
- Je te mate mec…
- Tu délires ou quoi le petit ? Tu mates un officier de l'armée, tu sais ça ?
- Oui m'sieur…
- Ben tires-toi, j'ai rien demandé alors tires-toi !
- Mais m'sieur, j'ai très envie de te mater.
- Eh ! Oh ! Tu déconnes grave là mon bonhomme, tu vas te prendre une dérouillée si tu dégages pas dans la seconde…

Et là-dessus, le petit cadet se lève, et tout en tripotant l'arme dans ses mains, en le regardant sous toutes ses coutures, il lança à Symphorien interloqué :

- Dis m'sieur l'officier, tu me donnes quoi pour que je te le rende ?
- Mais c'est pas vrai, t'es pas un peu fou mon p'tit gars, tu sais ce qui risque de t'arriver ?

Mais l'autre, pas déstabilisé pour un sou, lui rétorqua illico :

- À moi je ne sais pas trop bien mais à toi m'sieur, j'y pense sérieusement…
- Attends, je rêve là, tu me menaces ?? C'est bien vrai, tu me menaces ?? Un gringalet comme toi contre un colosse comme moi !

Et Symphorien ne put s'empêcher de rigoler comme un fou, de se tordre littéralement devant la mine agacée du cadet Rivière.

- Ok m'sieur l'officier, je vais tirer une fois. Juste pour te faire comprendre que c'est un jeu mais que c'est moi qui le commande…

Et Pan ! Une balle qui plonge dans le ruisselet, qui effleure le pied de Symphorien, si bien qu'un filet de sang se mêle à l'eau claire. Jean-Jean n'en croit pas ses yeux. Lui, le bel apollon, sûr de lui, un physique d'athlète de haut calibre, 1 mètre 90, 95 kilos, la forme maintenue par un entraînement quotidien des plus exigeants… Lui Symphorien Jean-Jean, officier gradé d'une force militaire au sol reconnue pour sa bravoure, menacé à la pointe d'un canon par un garçon à peine adulte, qui doit faire au maximum 60 kilos pour 1 mètre 70… Et Jean-Jean n'en finit plus de secouer la tête dans la négative, refusant de croire à la réalité de cette aberration.

- Si t'es bien gentil, m'sieur l'officier, tout sera ok. Nous allons jouer un peu et tu vas faire comme je dis, alors y'aura pas de casse.
- Écoute-moi bien mon petit pote. T'as intérêt à te tirer bien rapidement quand t'auras terminé tes conneries. Parce que si t'as pas les couilles de m'abattre sur-le-champ, sache que ça va faire mal quand je vais t'attraper. Me rate surtout pas en tirant…

Symphorien avait mis tant de haine et de fatalisme dans cette dernière phrase que le cadet sembla hésiter une seconde. Mais il se reprit alors que l'officier s'avançait et celui-ci s'arrêta.

- T'es trop beau, m'sieur l'officier, comprends-moi. Je suis qu'un minable cadet, mon physique sera jamais différent de ce qu'il est maintenant et de plus, j'aime les garçons. Je parviendrai jamais à faire l'armée alors aussi bien crever. Mais avant, je vais me payer une gâterie classe. Maintenant, étends-toi sur le sol, là.

Ce que fit Jean-Jean.

- Caresse-toi. T'es si beau ! Caresse doucement ta peau si lisse, mais ne touche pas ton sexe. J'ai envie de te voir plein de désir. J'ai envie de sentir sur ta chair les palpitations d'une envie extrême, j'aimerais tant te voir bander doucement, voir ton sexe gonfler peu à peu, pouvoir observer ce que c'est qu'un homme, un vrai mec, avec une bite comme la tienne. En voyant tes couilles pleines se balancer lascivement entre tes cuisses, en apercevant ton gland bien rond, et ta queue si longue, si grosse, j'ai eu une envie de toi immédiate.

Tandis que le cadet Rivière déclamait son baratin à l'officier Jean-Jean, éperdu de mots paillards et de fantasmes libidineux, l'homme de guerre opéra une manœuvre si rapide, si efficace que le petit cadet se trouva en deux secondes, face contre terre, un bras tordu dans le dos, un coude lui barrant la nuque, gueulant à l'injustice. Symphorien se marrait bien. Il aurait fallu que le cadet Rivière soit autrement plus puissant pour l'intimider.

Maintenant que le cadet gisait à terre, à la merci de Jean-Jean, celui-ci approcha sa bouche aux lèvres pulpeuses contre l'oreille du garçon et lui murmura :

- Je t'avais prévenu que cela te ferait mal. Et tu vas goûter de ma matraque petit connard. Ça t'apprendra à vouloir faire joujou avec le canon des autres.

Rivière ne souffla mot. Il convenait qu'il avait foiré totalement son plan. Comment arguer, comment demander pardon, comment s'excuser… Il fallait subir, simplement. Jean-Jean était assis sur ses reins, il pouvait sentir une bonne partie de ses 95 kilos. D'un geste brusque, Jean-Jean déchira les fringues du garçon comme s'ils avaient été de papier. Avec une facilité déconcertante, il lui arracha la chemise, le t-shirt, le pantalon, les bottes, les socquettes mais ne toucha pas au caleçon. Rivière n'espérait toutefois rien de cet oubli. La main géante de Jean-Jean lui plaquait toujours les épaules au sol tandis que ses chevilles et ses pieds formaient des sortes de crochets solides autour des jambes du cadet. Rivière savait qu'il était complètement fichu.

C'est à ce moment que le pauvre cadet sentit le corps de son tortionnaire onduler sur le sien et que l'érection de Symphorien se fit peu à peu distincte. Rivière perdit souffle même lorsqu'il réalisa que la chose devait bien faire au moins 25 centimètres. Jean-Jean appuyait toujours un peu plus fort sa grosse queue sur toute la surface dorsale de Rivière. Quand il finit par arracher le slip de sa victime, ce dernier étouffa un sanglot. D'une main ferme et sans tendresse, il lui écarta les fesses et trouva de suite son anus. Là, il y enfonça un doigt avec une puissance qui ne laissait place à aucune résistance. Rivière était violé.

Symphorien eut soudain un élan de pitié. Il cracha copieusement dans sa main, ramassant le plus de salive possible dans sa large paume et enduisit le cul du cadet de cette bave un peu épaisse. Puis il enfonça deux doigts dans le rectum cette fois, histoire de bien lubrifier cette grotte encore vierge qui allait subir le supplice de son zob titanesque. Il promena longuement son gland énorme dans le sillon du fion de l'autre. Passant et repassant pour s'exciter lui-même et aussi, par charité, pour habituer le garçon à ce qui l'attendait. Ensuite, il fit mine de pousser à quelques reprises, ce qui eut pour effet de terroriser le cadet chaque fois qu'il croyait que c'était la bonne. Enfin, il posa son gland sur l'ouverture du fion et chuchota à l'oreille de Rivière :

- Maintenant, respire un grand coup mon bonhomme, tu vas la sentir passer…

Rivière avait envie de crier, de s'effondrer, de disparaître, de gueuler pour qu'on vienne le sauver. Au lieu de cela, il respira un bon coup tandis que Jean-Jean lui déchira le cul pour y enfouir ses 25 centimètres de saucisson. Ce que Rivière ressentit ce jour là fut à jamais gravé dans sa mémoire. Il eut carrément l'impression qu'on l'ouvrait par le fondement. La brûlure était insupportable, la souffrance était monstrueusement aiguë, et Jean-Jean le défonçait avec une brutalité atroce. À force de douleur, il arriva cependant dans un état de grâce.

L'officier lui tambourinait toujours le cul mais avec plus de souplesse, avec un mouvement plein de finesse, et il sembla à Rivière que la bite de Jean-Jean toucha à un point qui le fit littéralement sauter de bonheur. Le cadet jouissait, il jouissait, il éjaculait comme un dingue, malgré le marteau-piqueur qui lui forait les entrailles. Symphorien jeta un grand cri au même instant et le cadet sentit des jets torrides lui remplir le fion.

Sans vraiment comprendre, le cadet sourit. Jean-Jean, plutôt gentil par nature, attrapa sa jeune proie et glissa sa langue veloutée sur la tige du garçon. Rivière naviguait entre douleur et plaisir, la bouche immense du Black semblait le gober tout entier et l'officier le pompait avec un savoir-faire exquis. La langue qui s'agitait sur le gland, les lèvres qui caressaient la hampe, cette bouche, c'était un véritable aspirateur ! Lorsque le cadet sentit une fois de plus la sève se précipiter vers le bout de son gland, cela lui arracha un cri d'une puissance inouïe et L'officier Jean-Jean se retrouva la gorge remplie de foutre chaud. Il avala cette semence délicieuse sans sourciller et mordilla les couilles du cadet pour le taquiner un peu.

Alors on entendit des applaudissements, une troupe entière sortit de plusieurs coins du boisé, on vint relever l'officier et tous les gars félicitèrent le cadet, en larmes. Ce jour là, on venait de vivre une autre magnifique initiation dans la compagnie de l'officier Jean-Jean…

                                                                                                        

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Jeudi 31 octobre 4 31 /10 /Oct 12:24

APOLON

La métrosexualité, est-elle une mode de passage ou un signe des temps? Une nouvelle invention des médias pour pousser l’homme à la consommation ou un nouveau genre d’homme qui vient d’être baptisé? On en parle beaucoup mais savez-vous vraiment de quoi et de qui on parle ? Aperçu de cette nouvelle tendance masculine... (Juste pour l'info, Freddie Mercury fut semble t-il le premier "metrosexuel" non ?).

Hétérosexualité : L’hétérosexualité est l’attirance d’une personne vers des personnes du genre opposé. Une femme vers un homme et vice-versa. C’est l’orientation sexuelle la plus répandue.

Métrosexuel : Métrosexuel (de l’anglais metropolitan sexual) est un terme désignant un hétérosexuel qui adopte les codes vestimentaires des homosexuels. On utilise ce terme pour qualifier des personnes qui font très attention à elles, prennent soin de leur corps, de leur alimentation, etc. Ce qualificatif est donné à de nombreuses personnalités telles que David Beckham. Métro = par rapport à l’homme métropolitain. Sexuel = l’homme hétérosexuel.

übersexuel : Marre d’être un metrosexuel ? Ça tombe bien : Marian Salzman, l’Américaine qui a popularisé le concept incarné par David Beckham, revient avec une nouveauté : désormais, soyons übersexuels. Petite explication de la «chercheuse de tendances» : «L’un ne remplace par l’autre, il s’agit d’une convergence. Le désir de mode et d’esthétique va subsister. Mais l’homme se tourne un peu moins vers lui-même et un peu plus vers les autres. Il devient plus fort.» Autrement dit : un peu plus viril mais pas macho. L’homme se tourne un peu moins vers lui-même et un peu plus vers les autres. Le nouvel idéal masculin caractérisé par une confiance absolue en soi sans être odieux ou vain, une virilité à toute épreuve, de la classe et un attachement à la qualité de la vie.

Nouvelles incarnations du phénomène ubersexuel : Arnold Schwarzenegger, le metteur en scène Guy Ritchie (mari de Madonna) ou l’acteur George Clooney.

Rétrosexuel : Homme entre 45 et 60 ans qui assume sa maturité, véritable homme d’intérieur tout en assurant en société.

Masculinisme : Les sexistes font souvent un amalgame entre les deux significations distinctes du mot « masculinisme ». Il peut désigner l’ensemble des théories et mouvements sexistes visant à promouvoir les droits des hommes dans la société, au détriment de ceux des femmes. Il s’oppose alors au féminisme et considère le féminisme et ses actrices comme étant la source des maux des hommes (notamment un taux de suicide plus élevé pour les hommes, et l’attribution plus fréquente de la garde des enfants à la mère dans les procédures de divorce). Le masculinisme demande un retour aux valeurs traditionnelles et la suppression des mouvements pour les femmes, et prône généralement une différenciation sexuelle forte. Il peut aussi désigner l’ensemble des théories et mouvements antisexistes. Les sexistes font souvent un amalgame entre ces deux définitions afin de faire croire que les antisexistes sont en fait des sexistes. En France, la notion et le terme de masculinisme sont introduits par Michèle Le Doeuff 1989 : «Pour nommer ce particularisme qui non seulement n’envisage que l’histoire ou la vie sociale des hommes, mais encore double cette limitation d’une affirmation (il n’y a qu’eux qui comptent et leur point de vue), j’ai formé le terme de “masculinisme”.»

Hominisme : L’ hominisme est un mouvement de réflexion et d’action concernant la condition masculine, présent essentiellement dans le monde francophone. Par rapport au féminisme, il se présente comme un mouvement symétrique, et non antagoniste. Les hoministes souscrivent d’ailleurs à la plupart des acquis sociaux du mouvement des femmes, et associent volontiers à leurs activités des femmes aux points de vues proches.

Les domaines principaux de préoccupation de l’hominisme sont:

La recherche d’une identité masculine débarrassée des stéréotypes; La dénonciation des violences faites aux hommes; La défense de la place des pères dans les familles;
La recherche de solutions quant à la sous-performance scolaire des garçons. Les hoministes organisent régulièrement des rencontres sous le nom de “Congrès de la condition masculine - Paroles d’hommes”. Le premier a eu lieu à Genève en 2003, le second à Montréal en 2005, tandis que le troisième est prévu en Belgique en 2007.
L’animateur le plus connu de cette mouvance est Yvon Dallaire, psychologue et écrivain québécois

Androgyne : Un androgyne (du grec andrôn, « homme », et gynê, « femme ») est un être humain dont l’apparence ne permet pas de décider à quel sexe il appartient. Quand une personne est physiquement porteuse des deux sexes on parle plutôt d’hermaphrodisme.
Ce terme a servi à caractériser des êtres humains ambigus, mais peut aussi renvoyer à une figure religieuse.

Homosexualité : L’homosexualité masculine était autrefois appelée uranisme. Lorsqu’elle désignait principalement l’attirance d’hommes envers les adolescents mâles, on utilisait aussi le mot pédérastie, si bien que par confusion il finit par désigner aussi l’attirance entre les hommes d’âges semblables. Cet amalgame s’est poursuivi en ce qui concerne les relations avec des enfants, si bien que les homosexuels masculins sont parfois soupçonnés de pédophilie. Or, la sexologie moderne ne retrouve chez les homosexuels masculins aucune tendance particulière à la pédophilie, par comparaison avec les hommes hétérosexuels.

Bisexualité : Bisexualité est un mot formé sur le modèle de homosexualité et hétérosexualité. La bisexualité consiste en une attirance sexuelle pour des personnes des deux sexes, soit simultanément soit alternativement.


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Mercredi 30 octobre 3 30 /10 /Oct 13:22

chouchougratuit28

 

Rien de mieux qu'une bonne bite poilue qui gicle sous votre nez, un de mes potes est bien monté et il adore se masturber devant moi, j'adore le voir se branler, ses belles couilles poilues sautillent sous mes yeux et son gland gonfle au fur et a mesure, sa verge s'allonge et tout à coup c'est trois jets de semence qui s'écoule sous mes yeux.....

QUE DU BONHEUR !!!

 

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Un jeune MEc que je Kiff !!!

 

Nous venions d’arriver dans le sud sur notre lieu de vacances dans un bel appartement

Le petit avait grandi, il était devenu un beau jeune homme typé, je mouillais d avance et en secret.

 

Après une bonne nuit de sommeil j’étais le seul à être encore au petit déjeuner, tous étaient partis à la plage. Chris fit son entrée, torse nu, pieds nus en jogging,  je pouvais distinguer clairement qu’il était en semi érection et cela était impressionnant, lui était sans gène il s’est assis à coté de moi et nous avons discuté un long moment, je pouvais voir que sa pilosité s’était développée, sa moustache et sa petite barbe était bien présente, trois poils pointaient sur son torse au milieu de ses petits tétons.

 

D’un coup il s’étira bras levés vers le ciel, je vis alors ses aisselles, noirs de poils denses, cela me mis en érection, surtout quand je matais ses pieds, j’adore les pieds de mec, ses doigts de pieds longs et courbés avec ses gros orteils me firent bander davantage, je voulais les lécher……

 

Je fantasmais sur lui, épiais tous ses gestes, le mata en maillot de bain et en caleçon lorsqu’il sortait de la salle de bain, son petit cul était très bandant et il avait toujours le sexe qui pointait dans son caleçon.

 

Ses shorty sentaient le sexe à plein nez, j’adorais, cela me faisait bander comme un âne quand je les reniflais dans le panier à linge. j’aurais  voulu le sucer et le prendre en moi, lui lécher ses petites fesses et lui apprendre à jouir, j’étais sûr qu’il était encore puceau.

 

Les vacances se sont terminés et nous sommes rentrés à Paris, Chris s’installa chez nous pour finir ses études, nous lui avons donné la chambre d’amis et il installa toutes ses affaires, j’étais aux anges.

 

Souvent seul avec lui, je guettais le moindre de ses gestes, j’ai même trouvé dans sa chambre des caleçons collés  et bien tachés et un klennex plein de foutre séché, il se branlait en cachette le petit !!!

 

Je  le guettais lorsqu’il se levait et il était toujours en semi érection dans son jogging, j’adorais ça, je matais tous les soirs ses pieds car à la maison tout le monde marche nus pieds. J’avais très envie de les lécher !!

 

A suivre .......

Par homclub - Publié dans : histoire homclub - Communauté : homclub
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Vendredi 25 octobre 5 25 /10 /Oct 14:57

 

FrancoChris04

 

La 1ère fois

Vous avez envie de pratiquer la sodomie avec votre partenaire mais elle n’est pas très partante pour cette première fois ? Peut-être a-t-elle peur d’avoir mal, peut-être est-elle gênée par cette pratique encore un peu taboue, ou bien peut-être avez-vous peur de ne pas assurer ?

La pénétration anale est source de plaisir pour de nombreuses personnes qui l’ont essayé. La première fois est très importante, si elle se passe bien, alors il y a de grande chance pour que la sodomie devienne un nouveau jeu amoureux entre les deux partenaires. Mais pour que cette première fois se passe bien pour tous les 2, il faut prendre le temps de bien se préparer et suivre nos quelques conseils.

L’hygiène

 

L’hygiène et la propreté sont essentielles à la pratique de la sodomie. D’abord parce que c’est plus agréable pour les 2 partenaires, ensuite parce que l’anus contient des bactéries qui peuvent potentiellement contaminer la flore vaginale. Prenez donc une douche ou un bain avant de vous livrez à des jeux anaux, et puis ce sont des préliminaires plutôt sympas pour commencer.

Une fois que votre pénis ou qu’un sextoy a été inséré dans le rectum de votre partenaire, il ne faut jamais les mettre dans le vagin jusqu’à ce que vous les ayez lavés. Si vous tentez une pénétration vaginale après une pénétration anale sans vous lavez le pénis ou sans utilisez de préservatifs différents, vous risquez une infection grave du vagin.

L’envie d’essayer la sodomie

 

Avant de tenter de pénétrer l’anus de votre partenaire avec votre pénis (gros ou petit !), il faut d’abord qu’elle en ressente l’envie, que toutes ses peurs se soient dissipées, et que vous puissiez lire dans ses yeux le désir de vous sentir en elle au plus profond de son intimité.

Afin de préparer votre partenaire à l’idée de la sodomie, n’hésitez pas à stimuler son anus régulièrement lors des préliminaires : en caressant doucement avec un doigt la partie extérieure de l’anus, sans pénétration, en faisant des cercles autour de l’orifice. Cette stimulation peut-être faite en même temps que vous stimulez son clitoris et son vagin avec un autre doigt, en vous servant de la lubrification vaginale pour humidifier la zone anale. Même si elle est réticente à l’idée de la sodomie, il y a de grandes chances qu’elle apprécie des caresses anales sans pénétration !

Lorsque vous sentez que votre partenaire apprécie ces caresses sur son anus (cela peut prendre 1 jour comme plusieurs semaines, et même parfois ne jamais arriver), vous pouvez essayer lors d’un cunnilingus de venir lécher l’anus avec votre langue. Evidemment l’hygiène doit être irréprochable, cette pratique est très agréable sous la douche par exemple. Ces caresses buccales sur l’anus, faites en douceur en mettant beaucoup de salive sont une préparation très agréable à la sodomie. Vous pouvez tourner autour de l’orifice et appuyer plus fortement pour faire doucement pénétrer le bout de la langue dans l’anus. Cette pratique appelée anulingus n’est pas du tout obligatoire pour apprécier la sodomie, elle doit se faire avec l’accord des 2 partenaires qui ne doivent y ressentir aucune gêne pour l’apprécier.

Que vous ayez pratiqué ou non l’anulingus, lorsque votre partenaire apprécie les caresses sur son anus, vous pouvez alors intégrer ce jeu lors des pénétrations vaginales : dans la position du lotus (la femme sur l’homme), ou en position de levrette, vous pouvez venir caresser l’anus avec un doigt. La double stimulation du vagin et de l’anus risque d’être explosive de plaisir ! Si votre partenaire apprécie, alors vous pourrez pénétrer doucement son anus avec un doigt bien lubrifié (avec de la salive ou du gel lubrifiant) tout en continuant la pénétration vaginale avec votre pénis. Soyez toujours attentif aux réactions de votre partenaire, ne rentrer pas votre doigt trop profondément si vous sentez que cela lui fait mal, parfois quelques centimètres suffisent à provoquer une très forte excitation.

Si votre partenaire apprécie les caresses et la pénétration d’un doigt, alors il est temps d’aborder avec elle la question de la sodomie. Cela peut prendre 1 jour comme plusieurs mois avant qu’elle n’accepte d’être pénétrée par votre pénis : soyez patient, le plaisir doit être partagé pour tous les 2.

La mise en route

 

Avant de vous lancer dans une pénétration anale, soyez sûr que votre partenaire en a envie, et qu’elle est d’accord pour essayer avec vous. Si elle refuse, n’essayez pas de la forcer, cela risquerait surtout de la dégoûter pour toujours, et ce n’est pas ce que vous voulez, si ?

Comme vous l’avez fait précédemment avec des caresses du doigt ou de la langue sur l’anus, la première sodomie doit être longuement préparée par des préliminaires torrides. Si votre partenaire apprécie l’anulingus, alors commencez par lécher délicatement son anus. Si elle préfère les caresses avec le doigt, stimulez-la comme elle aime. Prenez votre temps, humidifiez l’anus avec du gel lubrifiant et sentez le se décontracter au fur et à mesure de vos caresses. Votre partenaire vous guidera par des gestes ou des paroles, pour vous inviter à la pénétrer doucement avec un doigt.

Lorsque l’anus est suffisamment décontracté pour que vous puissiez y insérer le bout du doigt, lubrifier largement avec du gel lubrifiant votre index, et mettez une noix de gel à l’entrée de l’orifice, puis glisser délicatement votre doigt dans l’orifice avec de petits va-et-vient très lents. N’hésitez pas à utiliser votre langue pour stimuler le clitoris en même temps que vous rentrez votre doigt, pour augmenter l’excitation de votre partenaire.

Lorsque votre index est complètement rentré dans l’orifice, jouer doucement avec en lui faisant faire des va-et-vient très courts, en le faisant vibrer doucement, afin de détendre un peu plus l’anus. Lorsque vous sentez que l’anus est bien détendu, tout en laissant votre index inséré, venez avec votre majeur à l’entrée de l’orifice et faite le pénétrer à son tour. Doucement, glissez ce 2ème doigt entièrement. Lorsque vos 2 doigts sont à l’intérieur de l’anus, jouez avec eux pour détendre toujours un peu plus votre partenaire. A ce moment là son excitation doit être au maximum et il est alors temps de passer aux choses sérieuses…

La pénétration anale

 

La sodomie n’empêche pas la transmission des IST, le préservatif si !

Lorsque l’anus de votre partenaire est suffisamment préparé, choisissez une position confortable pour tous les 2. Voilà nos 2 préférées dans l’ordre de facilité :

         Elle sur le dos : la plus facile car vous voyez tout ce qui se passe et avez un accès plus simple,

         En cuillère : sensuelle, elle permet à la partenaire de contrôler l’angle de pénétration.

Evitez la levrette, pas toujours pratique ni confortable pour vous, l’amazone ou le lotus car vous ne pouvez pas contrôler facilement la pénétration. Et évitez évidemment les positions acrobatiques, le but est que cette première fois se passe bien !

Lorsque votre partenaire est confortablement installée, mettez une grosse noix de gel lubrifiant sur le gland et tout le long de votre pénis. N’hésitez pas non plus à remettre un peu de lubrifiant sur son anus. Dans la position choisie, avec une érection bien vigoureuse, positionnez votre gland à l’entrée de l’orifice puis faite des va-et-vient très doux afin de le faire pénétrer. Le gland étant souvent plus large que la verge, c’est le moment crucial pour la réussite de la sodomie. Continuez à faire de tous petits va-et-vient et une fois que votre gland est complètement rentré dans l’anus, alors enfoncer doucement votre pénis.

A chaque va-et-vient, regardez les réactions de votre partenaire, guettez toute douleur ou gêne qu’elle pourrait ressentir et n’hésitez pas à vous retirer complètement, attendre quelques instants, remettre du lubrifiant puis essayer de nouveau. Si la douleur est trop forte, laissez tomber et passez à autre chose, vous pourrez essayer une prochaine fois.

Lorsque votre pénis est rentré complètement, vous pouvez alors faire des va-et-vient plus vigoureux, mais n’oubliez pas non plus de rester doux, il s’agit d’une première fois ! Evitez de vous retirer puis de pénétrer à nouveau, ces jeux sont à réserver aux plus aguerris. Il est plus facile de rester dans l’anus jusqu’à l’éjaculation ou lorsque que votre partenaire vous demande d’arrêter.

 

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Vendredi 25 octobre 5 25 /10 /Oct 14:54

 

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Qu'est-ce que la masturbation ?

Pour les hommes, la masturbation est une stimulation manuelle du penis qui produit du plaisir. Pour les adultes ou les adolescents d'un certain age, la masturbation se termine habituellement par une éjaculation, dans lequel le liquide contenant les spermatozoides, le sperme, est ejecté du pennis. L'éjaculation est souvent accompagné d'un orgasme, une sensation de tout le corps (pour la majorité des gens) si puissante et agrébale qu'elle ne peut être comparé à aucune autre sensation que ressent le corps humain.

 

Pourquoi se masturber ?

Si vous vous êtes déjà masturbé jusqu'à l'éjaculation, vous connaissez la réponse à la question ! En plus de se sentir bien, la masturbation libère des tensions sexuelles qui s'accumulent naturellement au cours du temps. Pratiquement tous les hommes passent à un moment de leur adolescence (à partir de leur puberté) par des moments où ils deviennent de plus en plus "intéressés" par la "chose" (désirs et pensées érotiques, envies sexuels, ...). C'est un phénomène naturel : Les organes sexuels produisent et accumulent du sperme et le corps répond en vous donnant envie d'éjaculer ce sperme et faire de la place pour plus du sperme frais. Une des façon de l'éliminer est au travers d'émission ("pollution") nocturne - une éjaculation pendant le sommeil. Une autre façon est à travers la masturbation (les hommes qui se masturbent régulièrement n'ont que rarement des émissions nocturnes).

 

Quel age avoir pour se masturber ?

Si vous pouvez lire ceci, vous êtes assez agés pour vous masturber ! Vous pouvez par contre être trop jeune pour éjaculer. La plupart des garçons commence à éjaculer du sperme vers 12-15 ans, bien que certains le font plus tôt ou plus tard. Cependant, pour la plupart des hommes, la meilleure sensation orgasmique s'accompagne de l'éjaculation d'une bonne quantité de sperme. En fait, certains hommes aiment se retenir de se masturber pendant un moment, afin d'avoir un meilleur orgasme accompagné d'une plus quantité plus importante que normale d'éjaculat.

 

Y a-t-il un inconvénient à se masturber ?

Absolument rien ! Il y a des années, il était communément cru que la masturbation rendait aveugle, sourd, fou, les paumes poilues (!) ou encore d'autres désordres - mais même à cette époque, comme aujourd'hui, la masturbation était extrémement répandue. Toutes ces terribles croyances ont été prouvées comme fausses par la science moderne, même si les rumeurs et comptes de vielles femmes persistent (Si ces histoires étaient vraies, le monde serait remplie de sourds, d'aveugles ou de fous !). La masturbation n'est pas une maladie, elle n'est pas plus pour le gays que pour les hétéros.

Même si vous pouvez l'avoir entendu, la masturbation est complètement inofensive et sans conséquence ! Elle n'affecte pas la taille de votre pénis. Elle ne déforme pas (ou ne courbe) pas le pénis en érection - d'ailleurs peu de pénis grandissent de façon parfaitement droite. Elle n'affecte pas votre capacité à avoir des enfants plus tard ni ne vous rendra sourd ... Ca ne bloque pas votre croissance et ne vous donnera pas non plus de cancer des testicules. La Masturbation est une bonne préparation avant d'avoir eu des rapports sexuels. Donc à vous tout le plaisir !

Cependant, cela ne veut pas dire que toutes les méthodes de masturbation sont sans danger pour pour votre penis : réfléchissez donc un miminum avant de mettre votre penis n'importe où !

 

Peut-on trop se masturber ?

Pendant les premiers mois qu'ils découvrent la masturbation, la pluspart des garçons se masturbent plus souvent qu'ils le feront pendant leur vie entière. Ce n'est pas rare qu'un garçon de 13-14 ans se masturbe 3-4, voir 5-6 fois par jour. Ce n'est pas surprenant alors que certains garçons s'inquietent de trop se masturber. C'est sur que le temps passé à se masturber pourrait être utilisé à autre chose de plus productif - mais si vous ne l'auriez passé qu'à regarder la télé, ce n'est pas grave. Profitez simplement d'un moment présent en vous disant que dans quelques années, vous le ferez sans doute moins souvent et que peut-être que vous regreterez cette période de masturbation.

Par homclub - Publié dans : histoire homclub - Communauté : homclub
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